22 octobre 2025

Le geste que beaucoup oublient avant de mettre des fleurs en vase

Recevoir ou s’offrir un bouquet de fleurs fraîches fait toujours plaisir. Pourtant, même bien entretenues, elles fanent souvent trop vite. Et si un geste simple, trop souvent négligé, pouvait tout changer ?

Il y a quelque chose de profondément réjouissant à mettre des fleurs fraîches dans son intérieur. Que ce soit pour célébrer un événement, égayer une pièce ou simplement profiter de la beauté de la nature, les fleurs en vase créent instantanément une atmosphère chaleureuse et vivante. Mais, malgré leur apparente simplicité, faire durer ces bouquets dans le temps demande un peu plus d’attention que de juste en couper les tiges et les plonger dans l’eau.

Beaucoup se précipitent pour choisir les plus belles fleurs, cherchent le vase idéal ou encore coupent les tiges en biais pour optimiser l’absorption d’eau. Ces gestes sont en effet essentiels, mais ils ne suffisent pas toujours à prolonger la fraîcheur des fleurs. Rapidement, le dépit s’installe lorsque, malgré tous les soins apportés, les pétales commencent à flétrir et les tiges à tomber.

Un autre point, souvent négligé, joue pourtant un rôle majeur dans la longévité des fleurs en bouquet : l’environnement dans lequel elles sont placées. La température, l’exposition à la lumière et aux courants d’air influencent leur état, tout comme la qualité de l’eau utilisée. Mais ce qui peut véritablement compromettre la beauté des fleurs, c’est la prolifération des bactéries à l’intérieur du vase.

Avant même de disposer vos fleurs, il est essentiel de préparer soigneusement le vase. En effet, si celui-ci est mal nettoyé, il devient un véritable terrain fertile pour les bactéries, qui accélèrent le processus de dégradation des tiges et des fleurs. Le geste simple, mais que l’on néglige tout le temps, est donc de nettoyer le vase à fond, à l’eau chaude et au savon, voire avec un peu de vinaigre blanc. Cette étape élimine efficacement ces microbes indésirables et crée un environnement sain.

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Source : Journal des femmes