22 mai 2025

Maison iceberg : la tendance immobilière la plus folle de l’année chez les ultra-riches

Outre l’incontournable villa avec piscine, une autre tendance immobilière séduit les célébrités : la maison iceberg. Mais de quoi s’agit-il exactement ? On vous dit tout.

Contrairement à ce que son appellation évoque, une maison iceberg n’est pas une maison de glace mais une tendance dont de nombreuses célébrités raffolent. Mais qu’est-ce qu’une maison iceberg exactement et pourquoi ce concept séduit ? Nos réponses à vos questions.

Pourquoi iceberg ? Car avec cette tendance, l’extérieur de la maison est la seule partie visible de l’iceberg. En effet, le secret d’une maison iceberg réside dans son sous-sol, dont l’espace a été investi et aménagé de façon démesurée, mais surtout insoupçonnable depuis l’extérieur. En somme, la subtilité de ce type de maisons est qu’elles abritent des espaces souterrains de plusieurs mètres de profondeur pouvant contenir piscine, salle de sport, salle de projection, spa, simulateur de golf ou même pour certaines des cours de tennis !  Cette tendance compte de nombreux adeptes parmi les célébrités, dont Travis Kelce, superstar du football américain et compagnon de Taylor Swift. À Londres, Havona House est connue pour offrir sept étages, dont trois en sous-sol avec une piscine de 21 mètres transformable en salle de bal, un spa privé, un garage multi-voitures et des chambres supplémentaires.

Mais pourquoi un tel engouement pour les maisons iceberg ? Hormis le fait de garantir tranquillité et discrétion, une maison iceberg offre également des avantages d’un point de vue règlementation. Car avec Londres pour exemple, le prix des terrains constructibles étant particulièrement élevés et limités, tirer parti de l’espace disponible en sous-sol est une bonne opportunité au lieu d’opter pour une extension extérieure. De plus, l’esprit de la maison iceberg s’inscrit dans les grandes tendances du luxe « tranquille » qui attire les people désireux de mener une vie paisible loin des paparazzis.

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Source : Journal des femmes